Cherbourg : une cellule psychologique a dû être mise en place à l’hôpital Pasteur pour le personnel “ému aux larmes” par le calvaire de la jeune Cherbourgeoise, violée avec un manche à balai par Omar N. (MàJ)

Cet post a été publié sur this site

12/08/23

Lorsque que cette Cherbourgeoise de 29 ans arrive avec les pompiers aux Urgences de l’hôpital Pasteur, le vendredi 4 août, elle est dans un état grave. Plongée dans un coma artificiel, elle est admise au bloc opératoire. Et c’est devant la gravité de ses blessures que certains membres du personnel craquent et fondent en larmes. La victime présente une perforation du colon, de l’intestin grêle, du péritoine, du diaphragme mais aussi un pneumothorax et des côtes fracturées. Elle sera opérée pendant plusieurs heures.

 Pour aider le personnel hospitalier qui en ressent le besoin, la cellule psychologique de l’établissement a été activée. “Il s’agit de deux psychologues qui écoutent en groupe ou individuellement les soignants quand ils en ont besoin. Ce qui arrive régulièrement pour d’autres affaires moins médiatisées” souligne Sandrine Gamblin du syndicat Force Ouvrière.

Le suspect encourt la réclusion criminelle à perpétuité

(…) France Bleu


11/08/23

INFO LE FIGARO – Le mis en cause, déjà connu des services de police, a été confondu par une empreinte laissée sur une porte.

Des faits d’une violence inouïe qui laissent sans voix. Un individu de 18 ans déjà connu des services de police, Oumar N., a été interpellé ce jeudi après un viol barbare survenu vendredi 4 août à Cherbourg-en-Cotentin (Manche), a appris Le Figaro de source policière.

[…]

Selon le témoignage de la victime, un homme – qu’elle avait déjà aperçu mais ne connaissait pas -, s’est introduit à son domicile une demi-heure plus tôt. Elle explique que cet inconnu l’a frappée à de multiples reprises, au visage et sur le corps, avant de la violer plusieurs fois, notamment avec un manche à balai.

Les médecins ont diagnostiqué chez la victime une perforation du colon, de l’intestin grêle, du péritoine et du diaphragme, un pneumothorax, des fractures aux côtes et un risque élevé de choc septique. Conduite à l’hôpital, la jeune femme a été plongée dans un coma artificiel. Elle est actuellement entre la vie et la mort, son pronostic vital étant engagé.

[…]

Le fichier automatisé des empreintes digitales (FAED) a permis d’attribuer cette empreinte à un individu : Oumar N., 18 ans, déjà connu des services de police. Cette preuve est corroborée par la géolocalisation de son téléphone portable au moment des faits.

Le Figaro


En Lien :

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *