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25/08/2023
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22/08/2023
Cette famille s’est trouvée “au mauvais endroit au mauvais moment”, a expliqué en conférence de presse la procureure de la République
La famille de l’enfant tué à Nîmes lundi soir dans une fusillade visant une voiture est une victime collatérale et “n’est absolument associée d’aucune façon” à des faits punissables par la justice, a affirmé mardi la procureure de Nîmes Cécile Gensac.
Elle “a eu pour seul malheur de passer au mauvais endroit au mauvais moment“, a affirmé la magistrate, lors d’un point sur place dans le quartier nîmois de Pissevin, précisant que la fusillade a bien eu lieu “en lien” avec la guerre pour le trafic de drogues.
Un enfant de 10 ans a été tué dans une fusillade survenue dans la nuit du lundi 21 au mardi 22 août à Nîmes d’après les informations d’Actu17 et confirmer par la suite par France Bleu Gard Lozère et FranceInfo.
Des faits qui se sont déroulés dans le sud-ouest de la ville, dans le quartier de Pissevin, aux alentours de 23 heures. Un homme vivant dans le quartier rentrait chez lui en voiture avec ses deux neveux quand la fusillade a éclaté. D’après les témoins, au moins quatre tireurs ont ouvert le feu aurait affirmé une source policière aux journalistes de FranceInfo.
Le conducteur qui était en train de se garer a immédiatement redémarré pour se diriger vers l’hôpital. Son neveu de 10 ans est décédé peu de temps après à cause d’une blessure par balles au niveau du dos. L’autre neveu est quant à lui indemne. Des suspects qui n’ont pas pu être interpellés et qui ont pris la fuite.