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C’est une affaire qui remonte à 2018. Au début de l’année, une enquête vise un caporal-chef avec une trentaine d’années d’expérience. Sa belle-fille l’accuse de l’avoir filmée à l’aide d’une caméra cachée et à plusieurs reprises dans le plus simple appareil alors qu’elle était dans sa salle de bains. Des témoins rapportent que le haut-gradé ciblé par l’investigation partageait ensuite les vidéos et d’autres images sur FaceTime. Parmi elles, des gros plans sur son propre sexe. Le scandale menaçait d’entacher l’armée française. Contre toute attente, le caporal-chef a été remis en liberté. La Défense finit malgré tout par ouvrir une enquête.
On découvre alors que les vidéos et photos échangées par FaceTime étaient adressées à l’un de ses amis. Les deux complices avaient même décidé de passer au stade supérieur et de s’échanger des clichés des leur compagnes respectives. Seule une vidéo de la plaignante aurait été retrouvée. Retardée par le Covid, l’enquête s’est poursuivie pendant cinq ans jusqu’à ce que l’accusé soit acquitté de 7 chefs d’inculpation sur 9, dont celui de pédophilie. Il écopera finalement de 18 mois de prison pour outrages publics aux bonnes mœurs en présence d’un mineur de moins de 16 ans, ainsi que pour harcèlement. La Défense a décidé pour sa part de le limoger.
Ces vidéos intimes partagées depuis un haut-lieu de l’État
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